Le Commandant en chef de l’armée inspecte la Médecine militaire

Le Commandant en chef de l’armée le Général Joseph Aoun a inspecté ce matin la Médecine militaire à Badaro, où il a effectué une tournée auprès de ses départements, tout en s’informant sur le travail dans les bâtiments des: retraités, des familles des martyrs et des handicapés, ainsi que le laboratoire de sang, le laboratoire des tissus et les départements dentaire, des yeux, des rayons et des maladies incurables. Le Général Aoun a également observé de près le travail des comités médicaux de l’Académie militaire et l’enrôlement des mâles et des femelles, tout comme il a visité des patients tout en s’informant de leur état médical.
Après la tournée, le Général Aoun a rencontré le chef de la Médecine et le corps médical, tout en exprimant son soutien absolu à ce secteur vital à l’armée. Et d’ajouter: Ma visite aujourd’hui exprime la confiance totale qu’accorde le commandement à la Médecine militaire. Je suis fier de vous, de votre volonté et des services médicaux que vous offrez, dont nous bénéficions tous, que ce soit les officiers en service ou ceux qui sont à la retraite. Le secteur médical a connu une étape pionnière témoignée par tout le monde; un progrès aura lieu encore d’ici un an. Pour nous, la Médecine militaire est aussi importante que toute autre unité spéciale à l’armée. C’est à laquelle le militaire demeure lié tout le long de sa vie, même après sa retraite. C’est ainsi que nous œuvrons avec toutes les capacités disponibles, pour développer ce secteur.
Le Commandant en chef de l’armée a considéré que le développement de ce secteur nécessite un long trajet. Mais ce trajet commence par un pas. La Médecine militaire a réussi jusqu’à maintenant à surmonter beaucoup d’étapes importantes. Et d’ajouter: Nous sentons les difficultés auxquelles font face les malades qui font de longs trajets pour arriver à l’hôpital militaire, à cause de l’incapacité des dispensaires de répondre aux besoins sanitaires. C’est pour cela que nous œuvrons à augmenter le nombre des dispensaires dans les régions, et les équiper, tout en développant l’hôpital militaire où les places ne sont plus suffisantes.
Et d’ajouter: …